Le handicap, nous en parlons depuis le début dans Sainté Debout.
Pourquoi ? parce que simplement nous donnons la parole à toutes et à tous. Il ne faut pas croire que cela se fait tout seul car pour donner la parole à ceux à qui on ne la donne pas souvent faut-il encore produire la rencontre. Dans le monde actuel où chacun est « confiné » dans son petit milieu, la personne handicapée n’a pas voix au chapitre.
Il y a parfois certaines personnes qui réussissent à se faire entendre malgré la censure et c’est le cas de notre ami gilet jaune Carlos. Nous l’avions interviewé en janvier 2019.
Grâce à Carlos, à Fabrice et à d’autres ami(e)s, nous avons été amenés à commencer à faire des propositions en ce domaine. En Juin 2019, par exemple dans notre 97-ème proposition, nous demandions la formation et la création d’emploi d’AVS pour la prise en charge des enfants handicapés! Mais ces revendications ont aussi été portées par les gilets jaunes.
« Tous les enfants doivent avoir accès à l’éducation, la création de postes titulaires AVS pour l’accompagnement « des enfants à besoins éducatifs particuliers » est une nécessité pour les enfants handicapés (et un enrichissement et une éducation à la non-discrimination d’après les témoignages de leurs camarades). »
Sous un autre angle, le handicap international, c’est notre ami Michel Peyrache qui en octobre 2019, nous invitait à participer à la « Pyramide de chaussures » contre les armes explosives qui génèrent morts et handicaps à travers le monde.
La parole doit , avant tout, rester à ceux qui vivent le handicap et donc je vous invite à Lire (ou relire) le témoignage de Djo et de Sarah paru en février 2020.
Heureusement que Sainté Debout (souvent grâce au travail de Fabrice Devésa notre Tintin local) se fait l’écho des personnes handicapées et de leurs proches, car côté autorité c’est loin d’être le cas.
Bien sûr la Covid n’arrangea rien à une situation déjà alarmante.
Dialogue difficile avec les institutions qui débouche souvent sur des situations dramatiques.
Parfois même sur des choses très simples relevant de la voierie et de la propreté, il n’y a pas grand chose de fait.
C’est souvent la solidarité entre citoyen(ne)s qui vient compenser les manques de notre système inefficace et élitiste.
Et il faut que les citoyens se mobilisent pour obtenir…à peine leur simple droit.
FIN… mais à suivre.